Modélisation du cycle moteur réel (EIA 2001) énoncé

 

Q1

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Comme à V constant dQrév = nCvmdT, dS = dQrév/T = nCvmdT/T d'où T = A exp(S/nCvm): les branches isochores sont donc identiques et d'allure exponentielle, décalées parallèlement à l'axe T, celle de V =VH étant au-dessus de l'isochore VB car la température est plus élevée.

On peut aussi écrire dS = n(CvmdT/T +PdV/T) d'où l'on déduit

T = T0(V0/V)g-1exp[(S-S0)(g-1)/nR].

 

Q2

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De même, à P constante, dS = nCpmdT/T Þ T = A exp(S/nCpm): la branche isobare a également une allure exponentielle, de pente plus faible que celle des isochores, de sorte qu'elle coupe l'isochore VH en un point de température T3, la température continuant de monter au-delà.

 

Q3

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Comme S=Cte lors d'une transformation adiabatique quasistatique, les deux branches correspondantes sont verticales. On peut identifier directement les points et les transformations successives du cycle:

{1-2} compression adiabatique; {2-3} échauffement isochore; {3-4} échauffement isobare; {4-5} détente adiabatique; {5-1} refroidissement isochore.

Q4

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Sur le diagramme {T,S}, les chaleurs échangées de manière réversible ou quasistatique sont les surfaces comprises entre l'axe T = 0 K et les branches correspondantes car Q =  ! TdS. Par conséquent, Qc est l'aire A1 sous la branche isobare 3-4, et le travail est l'aire A2 du cycle car W = - S Qi = " TdS. Le diagramme entropique permet donc de "visualiser" directement le rendement par h º A2/A1.