Chapitre 3 : lumière modèle ondulatoire

 

PROPAGATION DES ONDES ( d’après bac 2005/11 Nouvelle Calédonie 4 points)

 

Cet exercice est un questionnaire à réponses ouvertes courtes. A chaque question peuvent correspondre aucune, une ou plusieurs propositions exactes.  Pour chacune des questions, plusieurs réponses ou affirmations sont proposées .Pour chaque questions inscrire en toutes lettres « vrai » ou « faux » .Donner une justification ou une explication pour chaque affirmation. Une réponse fausse ou une absence de réponse sera évaluée de la même façon.

Les parties 1, 2, 3 et 4 sont indépendantes et peuvent être traitées séparément.

1. Ondes infrasonores.

Les éléphants émettent des infrasons (dont la fréquence est inférieure à 20 Hz). Cela leur permet de communiquer sur de longues distances et de se rassembler. Un éléphant est sur le bord d’une étendue d’eau et désire indiquer à d’autres éléphants sa présence. Pour cela, il émet un infrason de fréquence f  = 10 Hz. Un autre éléphant, situé à une distance L , reçoit l’onde au bout d’une durée Dt = 70,6 s. La valeur de la célérité de l’infrason dans l’air est v = 340 m.s-1 .

:

1.1.    La distance entre les 2 éléphants est L = 26,8 km

1.2.    2 points distants l’un de l’autre de  d = 34 m vibrent en opposition de phase

1.3.    Un infrason de fréquence f = 15 Hz se déplacent avec une célérité v = 340 m.s-1. Par conséquent l’air est un milieu dispersif pour les infrasons.

 

2. Ondes à la surface de l’eau

Au laboratoire, on dispose d’une cuve à onde contenant de l’eau immobile à la surface de laquelle flotte un petit morceau de polystyrène. On laisse tomber une goutte d’eau au-dessus de la cuve, à l’écart du morceau de polystyrène. Une onde se propage à la surface de l’eau.

 

2.1. Ceci correspond :

            2.1.1. à une onde mécanique ;

            2.1.2. à une onde longitudinale ;

            2.1.3. la fréquence de vibration d’un point de la surface diminue au cours du temps ;

            2.1.4. Les lignes d’ondes sont rectilignes ;

 

2.2. L’onde atteint le morceau de polystyrène.

            2.2.1. Celui-ci se déplace parallèlement à la direction de propagation de l’onde ;

            2.2.2. Celui-ci se déplace perpendiculairement à la direction de propagation de l’onde ;

            .2.2.3. La fréquence de vibration du polystyrène est identique à celle de la source.

 

3. Ondes le long d’une corde

L’extrémité gauche d’une corde est reliée à un vibreur effectuant des oscillations sinusoïdales entretenues à partir d’un instant de date t0 = 0 s. Les graphiques 1 et 2 représentent l’état de la corde à une date donnée. Les élongations y et les abscisses x sont graduées en cm. On néglige tout amortissement dans la totalité des questions de cette partie 3.

.

3.1.      Le graphique 2 ci-dessus permet de déterminer la valeur numérique de la longueur d’onde l (t1 = 30 ms, t2 = 90 ms) .

On trouve :

            3.1.1. l = 20 cm ;

            3.1.2. l = 30 cm ;

3.1.3. (question indépendante de 3.1.1 et 3.1.2) La longueur d’onde est la distance séparant 2 points qui vibrent en phase. 

 

3.2.      À partir des graphiques 1 et 2, déterminer la valeur de la période temporelle T :

            3.2.1. T = 30 ms ;

            3.2.2. T = 60 ms ;

            3.2.3. T = 18 ms .

 

3.3.      La célérité de l’onde dans la corde est :

            3.3.1. v = 5,5 m.s-1 ;

            3.3.2. v = 10,0 m.s-1 ;

            3.3.3. v = 15,0 m.s-1 .

 

3.4. Dans la même expérience, parmi les graphes 3, 4, 5 et 6 ci-dessous, celui représentant l’aspect de
       la corde à l’instant de date t = 180 ms est le :

            3.4.1. graphe 3 ;

            3.4.2. graphe 4 ;

            3.4.3. graphe 5 ;

            3.4.4. graphe 6 .

 

4. Ondes lumineuses

c = 3,00x108 m.s-1

4.1.      La propagation de la lumière visible :

4.1.1. montre que c’est une onde mécanique ;

4.1.2. s’effectue avec une célérité plus petite dans l’eau que dans le vide (indice de réfraction
de l’eau : n = 1,3
) ;

4.1.3. s’effectue avec la même célérité, dans un milieu dispersif donné, quelle que soit la fréquence de la radiation.

 

4.2.      La lumière rouge :

            4.2.1. correspond à des longueurs d’onde plus grandes que celles de la lumière bleue ;

            4.2.2. se situe dans un domaine de fréquences plus petites que celles du domaine de
            l’infrarouge ;

            4.2.3. A la même longueur d’onde dans le vide et dans l’eau

 

4.3. Diffraction de la lumière

4.3.1. Si la largeur de la tache centrale est L = 5,0 cm, que la distance entre la fente est ‘écran est D = 2,0 m, que la largeur de la fente est a = 50 µm, alors la radiation monochromatique du laser est

4.3.2. Pour une lumière monochromatique, l’écart angulaire du faisceau diffracté par une fente
est proportionnel à la largeur de la fente ;

4.3.3. L’écart angulaire du faisceau diffracté par une fente de largeur donnée est plus petit pour une radiation rouge que pour une radiation bleue.